Enjeux des deux parcs éoliens en mer, près de Saint-Nazaire et près des îles d’Yeu et de Noirmoutier - Pierre THOMAS
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Le 13 mai 2025 de 14:30 à 16:00SALLE DOLIA, rue de la Cressonniere, Saint Georges De Montaigufalse false
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- Gratuit étudiants UP, étudiants en formation initiale et Personnel Universitaire sur présentation de la carte
- 6 € entrée non abonnés UP et "tout public"
En exploitation depuis deux ans au large de la presqu’île du Croisic, et en voie d’achèvement près des îles d’Yeu et de Noirmoutier, les deux parcs éoliens en mer de la région Pays de la Loire présentent l’originalité et la complexité d’être implantés à proximité de sites naturels protégés, de zones humides propices aux migrations d’oiseaux et de poissons, de lieux de pêche, d’un port de commerce important et d’un littoral à forte fréquentation touristique.
Chacun de ces deux ensembles de plusieurs dizaines d’éoliennes posées sur le sol marin constitue une source d’énergie renouvelable (correspondant à la consommation électrique de plus de 700 000 personnes) sans émission de particules fines ou de gaz toxiques, et sans rejets de déchets radioactifs à très longue durée de vie.
Bien qu’engendrant des perturbations de la flore et de la faune lors de sa construction, et bien qu’étant à l’origine d’une modification de la perception visuelle depuis le littoral proche, la réalisation de ces importants ouvrages maritimes constitue un élément déterminant pour la réduction de l’utilisation de ressources non-renouvelables et dangereuses pour la santé, pour la diminution de la dépendance énergétique de notre pays, et pour l’implantation d’une nouvelle industrie exportatrice dans la région.
La conception et la réalisation de parcs éoliens en mer reflètent l’importance des enjeux intergénérationnels du développement durable, mais aussi la difficulté de l’obtention simultanée de la préservation de l’environnement, de la rentabilité économique, et de l’acceptabilité sociale.
En exploitation depuis deux ans au large de la presqu’île du Croisic, et en voie d’achèvement près des îles d’Yeu et de Noirmoutier, les deux parcs éoliens en mer de la région Pays de la Loire présentent l’originalité et la complexité d’être implantés à proximité de sites naturels protégés, de zones humides propices aux migrations d’oiseaux et de poissons, de lieux de pêche, d’un port de commerce important et d’un littoral à forte fréquentation touristique.
Chacun de ces deux ensembles de plusieurs dizaines d’éoliennes posées sur le sol marin constitue une source d’énergie renouvelable (correspondant à la consommation électrique de plus de 700 000 personnes) sans émission de particules fines ou de gaz toxiques, et sans rejets de déchets radioactifs à très longue durée de vie.
Bien qu’engendrant des perturbations de la flore et de la faune lors de sa construction, et bien qu’étant à l’origine d’une modification de la perception visuelle depuis le littoral proche, la réalisation de ces importants ouvrages maritimes constitue un élément déterminant pour la réduction de l’utilisation de ressources non-renouvelables et dangereuses pour la santé, pour la diminution de la dépendance énergétique de notre pays, et pour l’implantation d’une nouvelle industrie exportatrice dans la région.
La conception et la réalisation de parcs éoliens en mer reflètent l’importance des enjeux intergénérationnels du développement durable, mais aussi la difficulté de l’obtention simultanée de la préservation de l’environnement, de la rentabilité économique, et de l’acceptabilité sociale.
Pierre Thomas, assistant, puis maître de conférences puis professeur des universités, à Nantes Université